Hop voila la partie manquante au dossier. Je te laisse faire la mise en page Yves.ça fait 6 pages et normalement ya pas trop (ou pas) de fautes d'orthographes. Si quelqu'un de super lettré pouvait relire mes parties, je ferais de même avec les siennes
3) Réseaux sociaux et sites communautaires
Avec le développement des technologies de l'information, de la communication grâce à la révolution d'internet, les gens se sont rapprochés, les contacts se sont facilités.
Et pour continuer dans cette lancé que plusieurs sites internet ont exploité ce filon pour en tirer des avantages qu'on ne soupçonnait pas. Désormais, les groupes dominants de notre environnement économique sont tous plus ou moins liés aux technologies de l'information et de la communication.
Mais on peut également choisir un habitant d'un pays riche, il y aura de forte chances qu'il soit sur un de ces sites, d'une manière ou d'une autre! Même les pays en voie de développement prennent ce tournant technologique.
A) Facebook, Myspace, Youtube et leur influence sur les comportements sociaux
Précédemment, nous avons vu le principe de l'e-commerce qui se base sur le récent marché d'internet qui représente une grande source de revenus à exploiter. Grâce à l'étendue du Net, on peut toucher un grand nombre de personnes pouvant être des clients potentiels. Les entreprises à but purement lucratif on donc trouver un marché prometteur dans ce domaine.
D'autres on vu l'expansion d'internet autrement. En effet, on peut toucher un grand nombre d'internautes pour réaliser des économies sur la publicité, la vente. Mais, on peut aussi rapprocher les individus en créant des espaces où le partage de l'information, la communication, le social sont des maitres mots. Plusieurs sites se sont développés sur ce principe. C'est le cas de Myspace, Youtube et du grand dernier, Facebook. Ils possèdent tous, un grand nombre d'utilisateurs et une quantité immense d'informations. Ces millions d'internautes mettent à jour leur contenus plus ou moins fréquemment ce qui crée un mouvement continuel de ces sites qui sont présent dans tout le monde. Un individu en France peut recevoir des données d'un autre individu se trouvant en Australie. C'est une révolution dans les liens sociaux. Après le téléphone, la révolution majeure d'internet rapproche encore plus les populations à un point qu'on n'aurait jamais imaginé. L'actualité, la musique, les informations personnelles mis à disposition par les internautes sont consultables par de nombreuses personnes à travers le monde.
Myspace (crée en 2003), un des premiers sites du domaine permet le partage d'informations et plus particulièrement la promotion de jeunes artistes. Certains ont déjà connu le succès grâce à ce site. Professionnels, amateurs, tous peuvent se faire connaître du public et sortir de l'anonymat.
Deuxième exemple de site communautaire, Youtube (crée en 2005). Il est devenu le leader dans le partage de vidéos en streaming (lecture en direct). On peut y retrouver des clips musicaux, des actualités, tout type de contenu, consultable depuis n'importe quel point d'accès internet dans le monde. Les commentaires et critiques entre internautes en font un tout nouvel acteur social.
Le dernier venu dans ce nouveau marché est Facebook, crée en 2006. En quelques années, Facebook s'est développé dans des proportions gigantesques. Plus de 500 000 millions de membres, un capital de plus de 32 milliards de dollars, cette forte expansion est due à la rapidité de la diffusion de ce site avec son idée novatrice. Après avoir perdu contact avec quelqu'un pendant longtemps, on peut rester informé de sa vie en temps réel.
La socialisation est transformée, on ne se forme plus comme avant. L' étude « The strenth of internet ties » ou « La force des liens de l'inter Net » nous révèle que les comportements sociaux, les relations sociales sont modernisés et améliorés. L'auteur de l'article présentant cette étude américaine nous informe qu'aux États-Unis, 57% des utilisateurs d'internet à haut débit affirment que ce dernier a eu « un rôle important ou crucial dans au moins une prise de décision ».
Ces sites communautaires et réseaux sociaux sont donc entrés dans les habitudes des internautes dans le monde. C'est un nouveau moyen de tisser un réseau social, un nouveau moyen de transmission de l'information. Mais attention, ces sites encouragent leurs membres à se dévoiler sur internet ce qui peut créer certains problèmes pour l'utilisateur imprudent.
B) Fin de la démarcation vie privée et vie publique ?
Les sites communautaires et réseaux sociaux regorgent d'informations (cf A) ). La variété, le nombre, l'attractivité de ces informations rendent le site qui les héberge plus complet et surtout plus intéressant pour les membres et les futurs membres. La politique de ces entreprises est donc de recueillir le maximum d'informations sur ses visiteurs. Tout est donc fait pour que cet objectif se réalise. Malheureusement, la vie privé de certains sort parfois de cette sphère sacrée pour entrer dans le domaine publique, aux yeux de tout le monde.
La toile qui représente l'ensemble des sites consultables grâce aux navigateurs s'enrichit de jours en jours. Des internautes rentrent leurs informations personnelles depuis les début d'internet car cette révolution sociale a touché de nombreuses personnes. Entrainés par la démarche du site qu'ils fréquentent, ils écrivent leur vie sur le Net jusqu'à certains détails qui sont normalement de l'ordre du privé. Mais cette normalité a disparu ce qui entraine des prises de précautions par certains utilisateurs, surtout chez les jeunes qui sont plus vulnérables à ce genre de dangers.
Facebook, le plus grand réseau social avec ses 500 000 millions d'utilisateurs est devenu l'objet d'une controverse majeure dans le milieu d'internet Il illustre parfaitement le premier paragraphe de cette partie. En effet, Facebook entraine ses membres à se dévoiler au grand plaisir des autres membres. Photos, opinions politiques, gouts (musicaux, artistiques, etc), situation amoureuse, font partie d'une grande liste d'autres informations personnelles que l'utilisateur transmet sans précaution
pour obtenir des commentaires et des avis (« J'aime ») ou tout simplement pour faire connaître sa vie. Cette soif de connaissances sur l'individu mène donc Facebook à dépasser la limite de certaines valeurs et principes dans certains cas. Un article du site des Éditions Praxis daté du 9 novembre 2009 nous informe que les créateurs de Facebook avaient annoncé qu'il serait possible d'immortaliser le profil des personnes décédés. Cette idée représente l'intrusion du public dans la sphère très privé du deuil, du décès. Pour certains, cela pourrait être un problème d'éthique car depuis longtemps, les hommages se transmettent plutôt physiquement, c'est un gage de respect. Cet exemple est accompagné d'une pléiade d'autres cas où la démarcation entre privé et public s'amincit.
Internet et les réseaux sociaux cherchent donc à entrer dans la vie personnelle de leurs utilisateurs pour se développer et attirer toujours plus d'internaute dans cette spirale. Les conséquences peuvent être grave.
C) Méthodes de recrutement et contrôle des employés
L'influence d'internet sur les relations humaines en entreprise est de plus en plus grande. Cette évolution grandit avec l'expansion des NTIC (Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication). Nous avons vu que les individus partageaient et se livraient de plus en plus sur internet Malheureusement, ces quantités énormes d'informations ajoutées sur la Toile ne peuvent pas disparaître, ou très difficilement. Et grâce aux moteurs de recherche, on peut aisément retrouver des images, vidéos ou paroles qu'on croyait enterrés depuis longtemps.
Un des avantages d'internet est de pouvoir y mettre des informations, des contenus sans limite en terme de quantité et de temps (selon les cas). Mais depuis la modernisation et la diffusion du Net dans le monde, un gros désavantage s'est fait connaître. En effet, tout ce que l'on inscrit reste enregistré et on peut les retrouver directement ou plus tard. Ce débat houleux date de plusieurs années comme peut le montrer l'article de 1998 écrit par Étienne Wery sur le site « Droit & Technologies ». L'auteur nous explique le conflit entre les États-Unis et l'Europe sur la confidentialité des données sur internet Bien qu'ayant plus de douze ans, cet article et cette divergence restent d'actualité. La dissension tend même à s'amplifier à cause des nouveaux réseaux sociaux et sites communautaires.
Pour illustrer les conséquences de ces sites, le recrutement en entreprise se montrera efficace.
Avant l'arrivée d'internet, les recruteurs et entreprise pouvaient difficilement consulter l'historique de leurs candidats. Dorénavant, avec l'apparition des réseaux sociaux, l'opération devient possible. Avant un entretien d'embauche ou lors de la réception d'une candidature, on peut regarder le passé du candidat (si il a laissé des informations sur la toile auparavant) et ainsi avoir un avis (favorable ou défavorable) avant même d'avoir rencontré la personne. Avec ce procédé, les erreurs de jeunesse ou encore la vie privé peuvent porter tort au postulant.
De même, un salarié présent dans l'entreprise depuis plusieurs années pourrait avoir des préjudices si ses supérieurs contrôlait sont activité sur internet ou encore son histoire. Plusieurs cas de licenciement dû à Facebook ont déjà eu lieu.
Mais les conséquences des sites communautaires et réseaux sociaux sur l'emploi ne sont pas que négatives. L'exemple d'un jeune chef de projet web (Nicolas) ayant réalisé une vidéo pour accélérer sa recherche d'emploi après un licenciement. Grâce à l'originalité de sa vidéo diffusée sur Facebook principalement, Nicolas n'est resté au chômage qu'un seul mois.
Les réseaux sociaux et sites communautaires poussés par l'expansion du Net, apportent donc leur lot d'avantages et d'inconvénients. Mais sont-ils accessibles pour tout le monde?
4) Inégalités / accessibilité
Comme nous avons pu le présenter dans les parties précédentes, internet se développe dans le monde à grande vitesse. Les pays en voie de développement s'équipent et se modernisent de plus en plus. Mais ce tableau idyllique du Net est à nuancer. Certes l'accroissement est fort, mais dans beaucoup de pays encore, les accès restent encore limités; même dans des pays riches.
A) A l'échelle mondiale
A l'échelle mondiale, l'accès à internet se caractérise par de grandes disparités. On peut déceler deux grands facteurs à l'origine de ces différences d'accès: la géolocalisation et le régime politique du pays avec son avancement en terme de technologie, d'économie.
Les inégalités par rapport à la géolocalisation restent présentes mais elles deviendront au fur et à mesure du temps moins importante et plus facile à corriger. Par exemple, les pays isolés et délaissés auront plus de mal à s'équiper correctement afin de recevoir internet sur leurs territoires et à disposition de leurs populations. Les conditions géographiques jouent également : montagne, campagne, îles, tout ces milieux ne pourront pas forcement bénéficier d'une couverture internet efficace. Cette règle est également valable pour un continent. L'Afrique qui est actuellement le pays le plus en retard sur les TIC (Technologie de l'Information et de la Communication). L'article de Pierre Col sur le site Zdnet nous confirme ce décalage du continent noir. Il nous explique que les coûts de connections y sont beaucoup plus important dû au manque d'infrastructures, d'équipements de technologies. Cela se répercute dans les statistiques du nombre d'internautes dans chacun des continents avec le pourcentage qu'ils représentent dans la population totale. Le tableau se trouvant sur le site interNetworldstats illustre les différences en terme d'accès dans le monde en 2010 avec les chiffres de 2000 pour comparer. L'Afrique qui compte plus de 1,000,000,000 d'habitants, ne possède par contre que 110,000,000 d'internautes environ contre environ 800,000,000 d'habitants en Europe et plus de la moitié qui se compose de cybernautes. Pour palier à ce problème, les pays développés qui sont les mieux lotis aident l'Afrique à se connecter au reste du monde avec internet. Bien qu'il existe d'autres pays en difficulté pour se relier, l'Afrique reste quand même la première à secourir.
En plus des problèmes géographiques, un deuxième facteur vient s'ajouter dans la grande bataille des inégalités d'accès. Ce deuxième point touche plutôt aux régimes politiques et aux économies des pays. En effet, un pays peut être développé économiquement mais ne pas être efficace dans le domaine d'internet à cause de son régime politique. On peut citer la Chine qui est deuxième dans le classement mondial du PIB et qui couvre encore très mal sa population avec en plus, des censures et des contrôles du contenu.
Les pays riches consacre de grands budgets à la R&D pour améliorer et inventer de nouvelles technologies, ce que ne peuvent pas se permettre les pays plus pauvres. L'inégalité initiale d'accès à internet s'accroit et laisse sur le carreau plus d'un pays. Un exemple: un article du site du Monde présentant le nouveau projet du WiGig qui consistera en des connections internet à très haut débit et sans fil. Cette innovation s'avère très prometteuse, mais son coût et son origine (pays riches) constitueront un moteur supplémentaire pour « l'occident » que n'auront pas les pays plus en retard.
Malgré le développement exponentiel du réseau internet et des technologies qui l'accompagnent, de nombreuses zones dans le monde restent peu ou pas couverte en fonction de leur situation géographique ou de leurs conditions politiques et économiques. On peut même retrouver quelques problèmes de ce type dans des pays qu'on ne soupçonnerait pas.
B) Sur l'échelle sociale (exemple de la France)
La France, pays riche et possédant plus de 34 millions d'internautes n'échappe malheureusement pas aux inégalités d'accès au réseau d'internet. Nous avons vu précédemment l'exemple de l'Afrique, en marge du progrès technologique à cause de son développement faible. À une plus petite échelle, l'hexagone connait encore quelques disparités dans sa couverture internet.
Les différents gouvernements français, depuis de nombreuses années, sont critiqués par le peuple qui demande toujours plus d'égalité, toujours plus d'avantages et de partages. Les principaux débats en France tournent autour de la question économique. Il y a une minorité de gens aisés et beaucoup de classes moyennes. Cela se répercute dans la qualité et la quantité des accès internet dans le pays. En effet, les classes sociales aisés sont mieux connectées au réseau, elles sont mieux équipées, mieux formées à utiliser tout les outils et applications que propose le Net. Ces technologies étant assez onéreuses, elles ne peuvent pas être possédées par tout le monde. Une famille nombreuse avec un bas niveau de salaire ne pourra pas se permettre de payer un abonnement internet et un ordinateur alors que le budget mensuel sera consommé dans la nourriture et les charges. Au contraire, une famille avec un niveau élevé de salaire aura une part beaucoup plus conséquente dédiée à la technologie. Les abonnements étant à 30 euros par mois environ ne sont pas accessible par toute la population. De plus, les familles les plus pauvres ayant à s'excentrer des grandes villes seront encore plus pénalisées de part leur éloignement géographique. Pour chiffrer ces inégalités, on peut utiliser le graphique représentant le fossé social en taux d'équipement à internet à domicile en France en 2009. Parmi les cadres supérieurs, 93% d'entre eux sont équipés pour avoir accès à internet alors que chez les non-diplômés on atteint seulement 36% de taux d'équipement. Ces chiffres illustrent les inégalités dans la technologie en France.
La France restant un pays développé et riche, des efforts et des investissements sont fait pour traiter ces inégalités. L'article du forum Clubic sur internet parle du plan pour équiper le territoire français avec la fibre optique, un type de connexion internet plus rapide et plus efficace. Cela permettrai de reconnecter tout les français avec un système performant.
Les inégalités d'accès ne se trouvent pas que dans les pays pauvres ou dans des situations difficiles mais elle sont aussi dans des pays riches comme la France bien que cette dernière soit plus apte à palier ces différences.